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Régulièrement, nous voyons apparaître des méthodes miracle. La liste en est fort longue. En voici que quelques-unes :
Un article de Jianhao Zhao et col est paru dans : Arch Ophthalmol, 2010 ; 128 : 12 comparant, dans l’amblyopie par anisométropie chez l’enfant âgé de 7 à 12 ans, les effets :
Cette étude parue dans une revue prestigieuse d’Ophtalmologie a entraîné immédiatement un buz médiatique assez remarquable : Le Quotidien du médecin, Le Figaro, de nombreux sites Internet, les listes de diffusion des Orthoptistes et des Ophtalmologistes et même la page consacrée à l’amblyopie a été mise à jour dans Wikipédia.
Or la lecture de l’article par un professionnel averti montre que cet article n’a aucun sens. En effet, 2 heures d’occlusion par jour ne sont pas un traitement efficace d’une amblyopie dans l’amblyopie anisométropique. De ce fait, il est logique que le résultat soit le même. Placébo contre placébo, le résultat doit être identique. L’étude le démontre. L’honneur est sauf.
Vous me direz mais il y a une amélioration de l’acuité visuelle. La réponse est simple. Elle est à imputer au port prolongé de la correction optique du défaut optique (encore merci), à l’entraînement, aux fluctuations de l’acuité visuelle de l’œil amblyope, etc.
Vous me direz également mais pourquoi une revue aussi prestigieuse que Arch Ophthalmol a publié un tel article ? Nous rentrons dans la sociologie de la science, de la recherche, des relations entre collègues, de l’influence des lobbies et de l’état très particulier de la société américaine vis-à-vis des méthodes contraignantes de récupération de l’acuité visuelle dans l’amblyopie. Ceci est une autre histoire.
Ce fourvoiement n’est pas rare : Nature et la mémoire de l’eau, Lancet et le vaccin ROR (une étude datant de 1998 qui avaient semé la panique dans le monde anglo-saxon en faisant un lien entre le vaccin ROR (rougeole-rubéole-oreillons) et l’autisme infantile était un "trucage élaboré", accuse jeudi le British Medical Journal (BMJ).) et le vaccin contre l’hépatite B (dans ce dernier cas, la non-vaccination sera responsable de plusieurs centaines de morts par an dans notre beau pays).
Terminons par une petite remarque. Il est intéressant de noter combien cet emballement médiatique fut relativement intense. Un traitement simple et sans contrainte pour l’amblyopie, il faut être le premier. On voudrait la même énergie à promouvoir un traitement qui marche dans pratiquement 100 % des cas chez l’enfant de moins de 6 ans : le traitement actuellement bien codifié de l’amblyopie. Mais ce n’est pas le cas. Quel en est la raison ? Mais elle est très simple : la contrainte que refusent les enfants (on les comprend), les parents (on les comprend un peu mais ils ont signé pour le meilleur et pour le pire (à titre personnel, je leur souhaite que le traitement de l’amblyopie soit le plus grave qu’ils aient à prendre en charge pour leur enfant)), les professionnels de la vision (là on tombe dans le dévoiement actuel du système de santé français et de ses acteurs) et la société (mais elle n’a que ce qu’elle mérite).
- De l’acupuncture ;
- De l’occlusion du bon œil 2 heures par jour.
Cette étude parue dans une revue prestigieuse d’Ophtalmologie a entraîné immédiatement un buz médiatique assez remarquable : Le Quotidien du médecin, Le Figaro, de nombreux sites Internet, les listes de diffusion des Orthoptistes et des Ophtalmologistes et même la page consacrée à l’amblyopie a été mise à jour dans Wikipédia.
Or la lecture de l’article par un professionnel averti montre que cet article n’a aucun sens. En effet, 2 heures d’occlusion par jour ne sont pas un traitement efficace d’une amblyopie dans l’amblyopie anisométropique. De ce fait, il est logique que le résultat soit le même. Placébo contre placébo, le résultat doit être identique. L’étude le démontre. L’honneur est sauf.
Vous me direz mais il y a une amélioration de l’acuité visuelle. La réponse est simple. Elle est à imputer au port prolongé de la correction optique du défaut optique (encore merci), à l’entraînement, aux fluctuations de l’acuité visuelle de l’œil amblyope, etc.
Vous me direz également mais pourquoi une revue aussi prestigieuse que Arch Ophthalmol a publié un tel article ? Nous rentrons dans la sociologie de la science, de la recherche, des relations entre collègues, de l’influence des lobbies et de l’état très particulier de la société américaine vis-à-vis des méthodes contraignantes de récupération de l’acuité visuelle dans l’amblyopie. Ceci est une autre histoire.
Ce fourvoiement n’est pas rare : Nature et la mémoire de l’eau, Lancet et le vaccin ROR (une étude datant de 1998 qui avaient semé la panique dans le monde anglo-saxon en faisant un lien entre le vaccin ROR (rougeole-rubéole-oreillons) et l’autisme infantile était un "trucage élaboré", accuse jeudi le British Medical Journal (BMJ).) et le vaccin contre l’hépatite B (dans ce dernier cas, la non-vaccination sera responsable de plusieurs centaines de morts par an dans notre beau pays).
Terminons par une petite remarque. Il est intéressant de noter combien cet emballement médiatique fut relativement intense. Un traitement simple et sans contrainte pour l’amblyopie, il faut être le premier. On voudrait la même énergie à promouvoir un traitement qui marche dans pratiquement 100 % des cas chez l’enfant de moins de 6 ans : le traitement actuellement bien codifié de l’amblyopie. Mais ce n’est pas le cas. Quel en est la raison ? Mais elle est très simple : la contrainte que refusent les enfants (on les comprend), les parents (on les comprend un peu mais ils ont signé pour le meilleur et pour le pire (à titre personnel, je leur souhaite que le traitement de l’amblyopie soit le plus grave qu’ils aient à prendre en charge pour leur enfant)), les professionnels de la vision (là on tombe dans le dévoiement actuel du système de santé français et de ses acteurs) et la société (mais elle n’a que ce qu’elle mérite).
Ce texte a été trouvé sur le lien suivant : http://e-jori.com/post/2008/11/25/Guerir-de-l-amblyopie-comment-faire
Guérir de l'amblyopie, comment faire ?
« Cet été, je suis parti à Lisbonne rencontrer un ophtalmologiste, le Dr Orlando Alves da Silva. Il est le spécialiste de la posturologie dite de Lisbonne, je vous en avais déjà parlé dans mon article sur le traitement des amblyopes adultes. Le traitement de l'amblyopie, du moins pour mon cas précis et celui de mon frère, est assez simple en fait.
Si votre œil amblyope a un autre problème de vue (myopie, par exemple), il faudra corriger ce problème au préalable. Je porte personnellement une lentille de contact pour corriger ma forte myopie.
"Vous regarderez avec votre œil amblyope la télé une heure par jour". "Vous prendrez un supplément de vitamine A tous les soirs" "Vous ferez des exercices avec un flash".
Et c’est là toute la différence. Ce flash. C’est un banal flash d’appareil photo, avec un autocollant dessus. La lumière qui s’échappe du flash a ainsi une forme de beignet. Et alors comment ça marche, ce traitement ?
Tout d’abord on allume notre lampe de bureau à une boîte (fournie avec le flash) qui va allumer puis éteindre successivement la lampe. On pointe cette lumière intermittente vers une surface blanche, par exemple un mur.
On regarde fixement avec son œil amblyope le point sur le flash, le centre du "beignet", on ferme son œil valide. On s’envoie un coup de flash dans l’œil. Évidemment, on sera ébloui par la lumière, laissant une trace lumineuse.
On regarde la surface blanche, toujours avec son œil valide fermé. Vous verrez qu’à chaque clignotement, votre trace lumineuse change d’aspect. Lorsque vous ne voyez plus de trace lumineuse, il faut recommencer avec le flash. On s’enverra donc au total un flash dans son œil amblyope trois fois par séance, une séance par jour. L’opération est assez rapide, durant en général 5 minutes.Voilà, vous venez d’exercer votre œil malade. Cet exercice sert à stimuler les cellules en périphérie, et de les attirer vers le milieu de la rétine, si j’ai bien compris.
Je précise bien évidemment que ce traitement est adapté à mon amblyopie, je ne sais pas comment ça marche pour d’autres types de problèmes. Rendez-vous dans quelques mois pour vous dire si je vois mieux ou pas. »
Or, la technique décrite est une technique bien connue puisque c’est la technique des post-images de Cüppers (ophtalmologiste de renommée mondiale en son temps). Cette technique date des années 1950. Cette méthode avait été mise au point dans un environnement très différent du nôtre. De très nombreux malades ont été traités par cette méthode et il y a une unanimité sur celle-ci. Cette méthode a été abandonnée pour deux raisons :
Guérir de l'amblyopie, comment faire ?
« Cet été, je suis parti à Lisbonne rencontrer un ophtalmologiste, le Dr Orlando Alves da Silva. Il est le spécialiste de la posturologie dite de Lisbonne, je vous en avais déjà parlé dans mon article sur le traitement des amblyopes adultes. Le traitement de l'amblyopie, du moins pour mon cas précis et celui de mon frère, est assez simple en fait.
Si votre œil amblyope a un autre problème de vue (myopie, par exemple), il faudra corriger ce problème au préalable. Je porte personnellement une lentille de contact pour corriger ma forte myopie.
"Vous regarderez avec votre œil amblyope la télé une heure par jour". "Vous prendrez un supplément de vitamine A tous les soirs" "Vous ferez des exercices avec un flash".
Et c’est là toute la différence. Ce flash. C’est un banal flash d’appareil photo, avec un autocollant dessus. La lumière qui s’échappe du flash a ainsi une forme de beignet. Et alors comment ça marche, ce traitement ?
Tout d’abord on allume notre lampe de bureau à une boîte (fournie avec le flash) qui va allumer puis éteindre successivement la lampe. On pointe cette lumière intermittente vers une surface blanche, par exemple un mur.
On regarde fixement avec son œil amblyope le point sur le flash, le centre du "beignet", on ferme son œil valide. On s’envoie un coup de flash dans l’œil. Évidemment, on sera ébloui par la lumière, laissant une trace lumineuse.
On regarde la surface blanche, toujours avec son œil valide fermé. Vous verrez qu’à chaque clignotement, votre trace lumineuse change d’aspect. Lorsque vous ne voyez plus de trace lumineuse, il faut recommencer avec le flash. On s’enverra donc au total un flash dans son œil amblyope trois fois par séance, une séance par jour. L’opération est assez rapide, durant en général 5 minutes.Voilà, vous venez d’exercer votre œil malade. Cet exercice sert à stimuler les cellules en périphérie, et de les attirer vers le milieu de la rétine, si j’ai bien compris.
Je précise bien évidemment que ce traitement est adapté à mon amblyopie, je ne sais pas comment ça marche pour d’autres types de problèmes. Rendez-vous dans quelques mois pour vous dire si je vois mieux ou pas. »
Or, la technique décrite est une technique bien connue puisque c’est la technique des post-images de Cüppers (ophtalmologiste de renommée mondiale en son temps). Cette technique date des années 1950. Cette méthode avait été mise au point dans un environnement très différent du nôtre. De très nombreux malades ont été traités par cette méthode et il y a une unanimité sur celle-ci. Cette méthode a été abandonnée pour deux raisons :
- Elle est très peu efficace. Les méthodes actuelles à base d’occlusion sont beaucoup plus efficaces.
- Elle est dangereuse. En effet, chez nombre des patients traités par cette méthode une diplopie (vision double) s’est développée malgré la persistance d’une mauvaise acuité d’un œil (ce sont les diplopies les plus pénibles).
De ce fait, cette méthode dangereuse doit être abandonnée.
Premier point, « ne pas traumatiser l’enfant ». Nous sommes tout de suite dans l’affect, c’est un signe de ces méthodes. Ne pas traumatiser, est un objectif raisonnable mais n’avoir qu’un œil est une situation déraisonnable et sortir très vite de cette situation peut nécessiter une action un peu traumatisante.
« Le développement de l’enfant et notamment la latéralisation, nécessite la vision binoculaire. » Tiens, les strabismes précoces qui n’ont pas de vision binoculaire, ne seraient pas latéralisés. Voilà une découverte. Je ne discuterais pas de la latéralisation oculaire.
« Elles font travailler (ou plutôt jouer) les enfants lors de séances en cachant un œil puis l’autre et en sollicitant leur coordination œil-main. » Voilà un autre signe : on ne travaille pas, on joue. Alerte. Par ailleurs, nous sommes en pleine contradiction. Quelques lignes plus haut l’occlusion était une horreur, maintenant cacher l’œil est légitime. On est en pleine confusion.
« Leurs travaux sont concluants et les enfants récupèrent une acuité visuelle correcte des deux yeux. » Ces travaux n’ont jamais été présentés devant la seule société savante spécialisée dans ce domaine : l'Association Française de Strabologie et d'OphtalmoPédiatrie.
Voilà quelques signes qui montrent que cette méthode n’est pas scientifique et qu’elle n’est efficace que dans les limites de l’effet placebo.
Le CAM stimulator
Lors du congrès international d’Ophtalmologie de Kyoto en 1978, une nouvelle méthode de traitement de l’amblyopie fut présentée par le Pr Watson (Cambridge, Angleterre) : le CAM stimulator. Cette méthode développée par l’équipe de neurophysiologie de Cambridge fut considérée comme révolutionnaire, d’autant plus qu’elle était simple.
Naturellement, elle fut l’objet d’opinion contraire (je dois reconnaître que mon maître : M. le prof Quéré eut un avis définitif sur cette méthode en quelques secondes, avis qui se révéla parfaitement exact.). Elle connut un engouement certain et fit l’objet d’un certain nombre de publications (il y en a toujours provenant du sous-continent indien essentiellement).
Devant la controverse, le prof Watson organisa un symposium à Cambridge en 1982, symposium présidé par le prof G von Noorden. Présent dans la salle, nous avons assisté à la plus belle mise à mort d’une méthode que je n’ai jamais vue. Le prof G von Noorden était dans le rôle du matador, la méthode dans le rôle du taureau. Ce fut un spectacle extraordinaire, seul la présence du prof Watson et la courtoisie du prof von Noorden ont évité que l’on sorte le goudron et les plumes. Les actes de ce colloque ont été publiés dans une revue qui n’est pas sur PubMed, hélas. La méthode est tombée dans l’oubli. Quoique ! Voir supra.
Lors du congrès international d’Ophtalmologie de Kyoto en 1978, une nouvelle méthode de traitement de l’amblyopie fut présentée par le Pr Watson (Cambridge, Angleterre) : le CAM stimulator. Cette méthode développée par l’équipe de neurophysiologie de Cambridge fut considérée comme révolutionnaire, d’autant plus qu’elle était simple.
Naturellement, elle fut l’objet d’opinion contraire (je dois reconnaître que mon maître : M. le prof Quéré eut un avis définitif sur cette méthode en quelques secondes, avis qui se révéla parfaitement exact.). Elle connut un engouement certain et fit l’objet d’un certain nombre de publications (il y en a toujours provenant du sous-continent indien essentiellement).
Devant la controverse, le prof Watson organisa un symposium à Cambridge en 1982, symposium présidé par le prof G von Noorden. Présent dans la salle, nous avons assisté à la plus belle mise à mort d’une méthode que je n’ai jamais vue. Le prof G von Noorden était dans le rôle du matador, la méthode dans le rôle du taureau. Ce fut un spectacle extraordinaire, seul la présence du prof Watson et la courtoisie du prof von Noorden ont évité que l’on sorte le goudron et les plumes. Les actes de ce colloque ont été publiés dans une revue qui n’est pas sur PubMed, hélas. La méthode est tombée dans l’oubli. Quoique ! Voir supra.
En règle générale, ces méthodes ne sont jamais présentées devant les sociétés savantes spécialisées dans ces pathologies [dans la liste ci-dessus, il y a deux exceptions : le CAM stimulator et l’acupuncture]. Les auteurs de ces méthodes sont tellement sûrs de l’efficacité de la méthode qu’ils promeuvent, qu’ils pensent être au-dessus de ces basses contingences. Cependant, ces méthodes même si elles sont inefficaces, se diffusent. Elles se diffusent parce que vous, les parents vous êtes inquiets et à juste titre de l’avenir visuel de vos enfants. Et, ils se trouvent toujours des margoulins (parmi ceux-ci, il y a des médecins et même des professeurs de médecine. Cette crédibilité renforce leur pouvoir de persuasion.) pour abuser de votre inquiétude.
Ces deux exemples montrent que des revues prestigieuses : Arch Ophthalmol pour l’acupuncture et congrès international de se laissent également abuser pour des raisons diverses et que la lecture d’un article suppose une très bonne compétence dans la pathologie. Ce fourvoiement n’est pas rare : Nature et la mémoire de l’eau, Lancet et le vaccin ROR (une étude datant de 1998 qui avaient semé la panique dans le monde anglo-saxon en faisant un lien entre le vaccin ROR (rougeole-rubéole-oreillons) et l’autisme infantile était un « trucage élaboré », accuse jeudi le British Medical Journal (BMJ).) et le vaccin contre l’hépatite B (dans ce dernier cas, la non-vaccination sera responsable de plusieurs centaines de morts par an dans notre beau pays), etc.
Ces deux exemples montrent que des revues prestigieuses : Arch Ophthalmol pour l’acupuncture et congrès international de se laissent également abuser pour des raisons diverses et que la lecture d’un article suppose une très bonne compétence dans la pathologie. Ce fourvoiement n’est pas rare : Nature et la mémoire de l’eau, Lancet et le vaccin ROR (une étude datant de 1998 qui avaient semé la panique dans le monde anglo-saxon en faisant un lien entre le vaccin ROR (rougeole-rubéole-oreillons) et l’autisme infantile était un « trucage élaboré », accuse jeudi le British Medical Journal (BMJ).) et le vaccin contre l’hépatite B (dans ce dernier cas, la non-vaccination sera responsable de plusieurs centaines de morts par an dans notre beau pays), etc.
Si la méthode passe par un canal officiel et nous avons vu que cela est possible, il n'y a pas de solution à moins d'être un expert. Dans les autres cas, on peut constater les faits suivants :
- Seul un petit groupe d’initiés les connaît et a fait l’effort de les maîtriser.
- Elles présentent un caractère miraculeux attesté par des témoignages ou des exemples de patients.
- Ce sont des méthodes simples, souvent peu traumatisantes et rapides.
- Ce sont des méthodes dont vous les parents (les adultes), vous êtes exclus. Il y a pas des examens, des méthodes auxquels vous ne pouvez pas assister.
- Ce sont des méthodes du moindre effort.
- Elles sont rejetées par la médecine « officielle ».
Ayez bien conscience que ces méthodes sont dangereuses, non en soi. Le plus grand nombre est inefficace (cependant quelques-unes sont intrinsèquement très dangereuses car elles risquent de faire faire prendre conscience d’une certaine réalité de la perception, réalité qui est cachée par les phénomènes physiologiques normaux) mais par le temps perdu. Du fait de ce temps perdu un certain nombre d’opportunités ne sont pas saisies et ceci de façon définitive.
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Date de création de la page : avril 2010
Date de révision de la page : Dimanche, 22 Mars 2015